Ils font partie des 60 signataires de la coalition de l’industrie textile et de la mode. Un an après, ils dressent le bilan de leurs engagements et de la transformation de leurs métiers.
LE FIGARO. - Une des forces du Fashion Pact est-elle de dépasser les dogmes de la concurrence?
Bruno PAVLOVSKY. - Effectivement, les signataires sont concurrents. Dans notre cas, nous le sommes avec Hermès et Kering par exemple, mais là, on ne parle pas de la boutique qu’on va ouvrir à New York ou d’un défilé mais de sujets de fond: les matières et les savoir-faire qui vont nous permettre demain de rester les meilleurs. Le Fashion Pact consiste avant tout en des discussions d’experts sur des sujets techniques qui nous permettent de nous aligner et de repartir chacun dans nos sociétés instaurer les plans d’action que nous souhaitons. Ce pacte est arrivé à un moment où chez Chanel, nous nous posions déjà ce type de questions, nous y avons adhéré parce qu’il nous apporte de l’aide et des réponses, parce qu’il nous permet d’avancer plus vite. Par exemple, sur le cas du coton qui représente à lui seul 40 % de toutes les matières consommées par les signataires, soit un tiers de sa consommation…
@jbook37 Alabama had a fan research how to kill a tree, carry out the weird act (arborcide?), call Finebaum’s radio… https://t.co/1qWXMhYxsw
— Joey Lah Sat Jun 19 14:59:05 +0000 2021
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