07/01/2023
Par binternet
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Barcelo Anfa Casablanca souffle sa première bougie<

Le Barcelo Anfa Casablanca est l’un des acteurs principaux de l’hôtellerie premium dans la capitale économique du Royaume. A en croire son Top Management, l’hôtel a pour principale ambition de s’intégrer parfaitement dans son environnement, d’offrir à la clientèle un service personnalisé de grande qualité.

Installé au cœur de Casablanca, l’hôtel Barcelo Anfa souffle sa première bougie et vient donc s’ajouter à la liste des établissements hôteliers de la chaîne espagnole, se trouvant au Maroc : Agadir, Marrakech, Fès, Tanger et enfin Casablanca.

C’est parce qu’ils estiment que sa clientèle est chaque fois plus exigeante, en valorisent son choix et ses goûts, que le personnel de cet hôtel de luxe 5 étoiles prend du plaisir à lui offrir un service très personnalisé, que ce soit pour les voyages d’affaire ou pour ceux du loisir.

L’établissement compte un total de 206 chambres, 10 salles de réunions, un banquet d’une capacité de 350 personnes, un Wellness, une piscine extérieure, et une grande terrasse extérieure pour profiter de la belle vue sur la métropole. Il reçoit quotidiennement plusieurs catégories de visites : ‘’Nous avons une clientèle orientée plus tourisme d’affaires… Mais dans l’ensemble, nous avons un bon mix entre tourisme d’affaires et loisirs’’, souligne Enrique Acrich Ecker, DG de l’hôtel.

Barcelo Anfa Casablanca souffle sa première bougie

Pour fêter sa première année dans un cadre prometteur de bonnes perspectives, les dirigeants de l’unité hôtelière Barcelo ont réalisé des actions stratégiques en vue de se fixer des objectifs à moyen terme. Ils visent principalement une meilleure qualité de service, en accentuant le principe de la vision du groupe qui repose sur l’esprit de l’équipe, notamment pour accélérer l’amélioration des performances. « Dans un avenir proche, le groupe Barcelo deviendra une des marques incontournables des offres hôtelières de la ville et le Barcelo Anfa Casablanca en est une pièce maîtresse ! », conclut Enrique Acrich Ecker.