Joëlle Milquet a passé de très nombreux moments à Saint-Idesbald. Comme enfant, puis avec ses enfants. Elle y revient souvent : « J’ai un lien très affectif avec la côte belge. »
Article réservé aux abonnésTyler set a fire in the toaster oven and we both just stood there and stared at it like IDIOTS bc neither of knew h… https://t.co/DvES9BYDAi
— DeAnna 🌸🐝☘️🐶 Wed Apr 29 14:15:39 +0000 2020
Saint-Idesbald voit toute la vie de Joëlle Milquet défiler. Façon Bénabar, Quatre murs et un toit. Des tranches d’existence qui s’empilent, se complètent, puis se répètent, d’une génération à l’autre. Des pâtés sur la plage, des cuistax, des Club des cinq, des blocus, « j’ai fait droit romain ici », des moules vin blanc, et ça recommence. « Une fresque intemporelle de générations, toujours les mêmes images qui reviennent », sourit-elle sous l’horloge du rendez-vous.
Cet article est réservé aux abonnés