Généralement, les amateurs de costumes le sont aussi, à des degrés divers, de beaux souliers, de bons cigares, de belles voitures et de jolies montres. Miniaturisées au début du XIXe siècle, alors qu’une certaine esthétique cavalière perdure encore à la ville, ces dernières sont suspendues au bout d’un ruban de gros-grain, en haut de la cuisse droite.
Mais, très vite, à la faveur d’une allure plus bourgeoise, les toquantes se placent dans la poche gauche du gilet avec une mise en exergue inédite: bélière ouvragée, longue chaîne qui, depuis la poche droite, est disposée en guirlande festonnée.
Dans l’Ouest américain s’ajoute aux jeans, à droite, une petite poche dans la poche, le gousset. Dans les années 1930, la montre-bracelet devient toutefois la norme.
L’affaire n’est plus celle du tailleur, mais du chemisier. Si le poignet mousquetaire, plutôt généreux, s’en accommode, le poignet simple et plus étroit gêne davantage. Gianni Agnelli avait résolu le problème en disposant sa montre par-dessus…
Spent the last hour or so adapting this image from McGowan et al (2006). Even though it's not complicated, it's day… https://t.co/qeuYqSZeks
— America Campillo (Guerra) Thu Apr 22 20:44:11 +0000 2021
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